lundi 29 septembre 2014

Les "fondamentaux" de la "Trame Business"

Un topo sur les Business et le SI, fait à la Sorbonne le 24/9/2014 résume l'essentiel des bases de la "Trame Business" (alias VCCM), avec quelques exemples pour illustrer l'application de ces concepts.

Un exercice de concision, sur une voie étroite, hors de toute discipline. Mais aussi un exercice de passion pour visiter le présent et le futur, et y trouver, au travers des situations les plus variées, de troublantes similitudes.

Et, finalement, un discours étrange, car il ne soulève pas d'échos. Faudrait-il le complexifier ? lui donner un caractère formel, avec un meta-modèle, voire une formulation mathématique ? Ce serait faisable et l'architecture conceptuelle s'y prêterait...

Mais à quoi bon ? Ce serait naïf de croire à l'utilité d'une formalisation ésotérique, qui ne ferait que renforcer l'absurdité du propos. On ne peut prétendre à une telle généricité d'un modèle sans mégalomanie, et, quelque part, cette théorie est un leurre.

Pourtant, personnellement j'aimerais bien comprendre en quoi ces bases sont fausses, et non avenues.

Le mystère est double :

  • Pourquoi une telle portée du modèle ?
  • Pourquoi l'incompréhension ?
Et si, tout simplement, ceci expliquerait cela ? L'universalité soulèverait le scepticisme et le classement sans suite ? Je peux passer pour un illuminé ou un farfelu, mais je reste convaincu d'être dans le vrai. A vous de juger.

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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Il me semble que le rejet de l'architecture flexible repose sur la tension entre Top Down et Bottom Up. Dit autrement, sur la nécessité de cadrer et sur le besoin de résoudre des problèmes identifiés par des utilisateurs (lacune, méconnaissance d'informations existante ou outil usuel peu performant, ...). Si le cadre limite trop les mouvements, les acteurs vont s'ingénier à le recréer là ou il leur est utile. Cela va avec ce joli mot d'entropie. L'ordre créé d'en haut génère des tensions avec la mobilité requise pour les activités. Il s'en suit que les acteurs de l'entreprises créent leurs propres outils informatiques (parfois pour leurs propres cauchemars ultérieurs, en particulier s'ils s'adossent à des référentiels qui bougent indépendamment de leurs créations). Ma conviction va dans votre sens, à savoir que seul compte l'information. Les outils informatiques eux, sont victimes de cette belle créativité informatique qui s'acharnent à rendre obsolètes les produits phare de l'an passé. dans ce contexte, oui, la données prime. et puis, le sociétale suit. c'est à dire que les directions informatiques doivent conjuguer leurs stratégies avec la créativités des utilisateurs. En quelques sortes, coordonner voir outiller l'entropie afin qu'elle soient plus facilement assimilables par la stratégie des directions informatiques.

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